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5 février 2006

L'histoire du JUDO

                                Jigoro Kano : le fondateur (1860 - 1938) 

drapjapon

C'est un universitaire et haut fonctionnaire impérial, né à l'aube de l'ère MEIJI, et qui a connu la foudroyante modernisation du Japon qui entraina son ouverture au reste du monde, qui a créé et diffusé le Judo. J. KANO, pénétré de tradition mais innovateur; intègre et idéaliste, mais habile; soucieux avant tout d'éducation et de progrès moral, mais rapide à saisir le dynamisme du système sportif occidental. Tel est la personnalité forte et complexe du père du judo.

18/10/1860 : naissance à Mikage (près de Kobe), de Jigoro, 3ème fils de Jirosaku Mareshiba KANO, intendant naval du shogunat Tokugawa.
1871 : La famille KANO se fixe à TOKYO.
1877 : Jigoro KANO rentre à l'université impériale de TOKYO.
1878 : Il fonde le Kasei Base Ball Club (le premier du japon), entre au Tenshin'yo ryu
1881 : Licencié es lettres - entre au Kito ryu.
1882 : Diplômé en sciences esthétiques et morales.
1884 : Attaché à la maison impériale.
1885 : Reçoit le 7ème rang impérial.
1886 : Reçoit le 6ème rang impérial - promu vice président au collège des nobles.
1888 : Recteur au collège des nobles.
1889 - 91 : En mission en Europe pour le compte de la Maison Impériale.
1891 : Promu conseiller du ministre de l'éducation.
1893 : Directeur de l'Ecole Normale Supérieure puis secrétaire du ministre de l'éducation.
1895 : reçoit le 5ème rang impérial.
1899 : Nommé président du BUTOKUKAI (Centre d'étude des arts martiaux).
1902 - 05 : Accomplit deux missions en Chine.
1905 : Reçoit le 4ème rang impérial.
1909 : Il est le premier Japonais membre du Comité International Olympique.
1911 : Président de la fédération sportive (unique) du Japon.
1912 - 13 : Accomplit des missions en Europe et en Amérique.
1916 : Reçoit le 3ème rang impérial.
1920 : Prend sa retraite de fonctionnaire et se consacre entièrement au Judo.
04/05/1938 : Meurt sur le bateau qui le ramenait du Caire (assemblée générale du C.I.O); Reçoit le 2ème rang impérial à titre posthume.

La préhistoire du Judo
Le JUDO a pour ancêtre le JU-JITSU, en effet Jigoro KANO était un spécialiste du ju-jitsu qu'il avait étudié dans plusieurs écoles et dont il a extrait les techniques de projection et de contrôle que nous connaissons actuellement.

1) Les origines des Arts Martiaux
La première mention qui en est faite, se trouve dans une ancienne histoire du japon datant de l'an 720. Il y est mentionné un tournoi de lutte tenu sous l'empereur SUININ, pendant la 7ème année de son règne, soit en l'an 24 avant J.C.
LE mot JU-JITSU apparait en Europe dans certains ouvrages publiés avant 1600 en Hollande. (Période TOKUGAWA)
Avant l'apparition des armes à feu, les combats se déroulaient avec des armes de jet tel l'arc ou le javelot, ou près avec le sabre, le couteau ou à mains nues (KUMI-UCHI). Le port des armes étant reservé aux nobles, le reste de la population n'avait d'autres choix que de développer des techniques de combats à mains nues ou d'utiliser les outils agraires pour se défendre (KO-BUDO). Les moines ont joué un rôle très important dans le développement et la diffusion de ces techniques ; ils se déplacaient en effet très souvent et n'&tant pas nobles, n'avaient pas droit au port des armes.
Il faut aussi mentionner des dessins représentant des postures et des mouvements étrangement semblables à ceux que nous connaissons aujourd'hui et qui ont été relevés sur une fresque égyptienne datant d'environ 2000 ans. Rappelons aussi les techniques de lutte et de combat au baton qui étaient utilisées plus près de nous en Europe au Moyen Age. Ceci pour dire que les Arts Martiaux se développèrent de manière quasi universelle, mais qu'ils n'eurent sans aucun doute jamais, un développement aussi important qu'au Japon.

2) Le passage des JITSU vers les DO
La légende veut que tout ait commencé par un vieux médecin chinois qui faisant une promenade en forêt durant un rude hiver, remarque comment de fines branches de pin, s'inclinaient sous le poids de la neige afin de s'en débarasser, et pouvaient ainsi se redresser sans dommages alors que les branches d'arbres plus robustes cassaient sous le poids. C'est à partir de là qu'il imagina les premières techniques de JU-JITSU (Art de la souplesse) avec ses premiers principes comme l'utilisation de la force de l'adversaire pour la retourner contre lui et le vaincre.
L'harmonisation fut très lente, en effet, les différentes écoles gardaient jalousement le secret de leurs techniques, d'autant plus qu'elles pouvaient être un atout majeur lors d'une rencontre sur un champs de bataille, ces techniques étant surtout utilisées lors de combat entre armées de seigneurs rivaux.

C'était l'époque de BU-JITSU (L'art du guerrier) et qui a duré du VIIéme au XIIIème siècle pendant les grandes guerres civiles qui ont ravagées le pays.

Suivra l'époque du BU-GEI (entrainement du guerrier) qui verra apparaître un début de codification des techniques et d'apprentissage systèmatique. Des manuscrits illustrés décrivent les prises et techniques, les premières écoles (RYU) apparaissent.

Puis vint l'époque du BUDO (la voie du guerrier). Suite à une très longue période de paix instaurée par le shoguna (ère TOKUGAWA vers 1603), les batailles entre armées n'avaient plus lieu d'être et les écoles se multiplièrent et s'ouvrirent au plus grand nombre.
Vers le milieu des années 1800, on dénombre 159 écoles majeures d'arts martiaux réparties en 8 familles dont le JU-JITSU.
Ces écoles, en se multipliant, évoluèrent aussi et passèrent des JUTSU (arts, ensembles de recettes) vers les DO (voie, style de vie).
Ainsi le IAÏ-JITSU devint le IAÏ-DO, l' AÏKI-JITSU devint l'AÏKIDO et le JU-JITSU le JUDO.

L'histoire du Judo dans le monde

    Jeune, Jigoro Kano était petit et chétif tant et si bien que ses camarades se moquaient de lui en permanence. Il reçut le sabre des samouraï à 10 ans, juste avant que l'Empereur Meiji en interdise le port. Du fait de sa santé fragile, Jigoro Kano décida de s'adonner au sport pour se développer le corps. Ce fut d'abort la gymnastique et le baseball, sport pour lequel il créa le premier club du Japon en 1878.
    Il ne commença l'étude du ju-jitsu qu'à l'âge de 17 ans, au moment de son entrée à l'université de lettres, avec le maître Hachinosuke Fukuda au sein de l'école Tenjin-shinyo-ryu dans laquelle il découvre l'Atemi-waza et les Katame-waza.
    Jigoro Kano allait au Dojo tous les jours. A l'époque, les judogi avaient des manches courtes et les pantalons ressemblaient à des bermudats. Les entrainements étaient très rudes et Jigoro Kano en revenait souvent couvert d'échymoses et d'égratignures. Mais jamais il ne se serait plaint. Il devint plus fort et résistant, mais restait petit et léger. Aussi essayait-il de bien étudier les autres pratiquants sur leurs techniques et leurs déplacements afin de mettre au point des techniques lui permettant de les vaincre. Ainsi, dans le cours de maître Fukuda, il y avait un élève, Kenkichi Fukushima qui pesait près de 90 kilos. Après l'avoir bien observé, il lui demanda à la fin d'un cours s'il accepterait de le rencontrer. Il le projeta, malgré son poids, de façon spectaculaire avec une technique qu'il venait de mettre au point, KATA GURUMA.

    A la mort du maitre Fukuda, Jigoro Kano, entre à l'école Kito-ryu, où il découvre un esprit qui ne le quittera plus et qu'il inclura plus tard dans sa propre méthode. Il s'agit d'un principe : (Minimum d'énergie, maximum d'efficacité) ou (utilisation efficace de l'énergie (SEIRIOKU ZENYO).

    Dans le même temps, Jigoro Kano, que sa soif de connaissance dévorait, fréquentait les bouquinistes et achetait tous les vieux manuscrits qu'il pouvait trouver. Il put ainsi se procurer des documents originaux d'autres écoles. Il apprit les techniques du Sumo et redécouvrit l'ancien art des saisies (Kumi uchi) qui aboutira au travail primordial du Kumi kata en Judo.
    De toutes ses recherches et études, il fit une synthése et décida de créer son propre Dojo. Ceci se fit en 1882, à coté du petit temple shintoïste d'Eisho-ji ou il avait élu domicile. Ce Dojo comptait 12 tatamis (env 24m²) et 9 disciples venaient y étudier dont Shiro Saïgo qui allait bientôt devenir très célèbre.
    Il nomma cette école le KODOKAN. La réputation de l'école ne tarda pas à se propager . Cela rendait jaloux les maîtres des anciennes écoles. A l'époque, la coutume était de se lancer des défits entres écoles concurrentes afin de prouver son efficacité par rapport à l'autre. La tradition pour les vainqueurs étant d'emporter l'enseigne des vaincus, le dojo de ces derniers perdait presque tous ses élèves. Ainsi, l'école du maitre Jigoro Kano gagna bien des défis qui lui furent lancés par bon nombre d'autres écoles.
    Le dojo ne cessa de s'agrandir et de déménagements en déménagements passa de 12 tatamis à 167 tatamis en l'espace de 7 années.
    Le Judo du Kodokan est reconnu en peu de temps comme excellent et efficace depuis que ses étudiants ont vaincus des athlètes d'autre écoles de Ju-jitsu et des brigades de polices spéciales rompus au bujitsu. La plus célèbre rencontre à laquelle ont participé les élèves de Kodokan est celle organisée par la préfecture de police de Tokyo.
    Shiro Saïgo avait été désigné pour combattre avec Entaro Koshi, une sorte de géant patibulaire surnommé le démon de l'école TOKUZA.
    Saïgo esquivait simplement les attaques de Koshi et semblait se moquer de ses tentatives pour l'atteindre. A un moment pourtant Koshi trouva l'ouverture et réussit à attaquer Saïgo. Il le souleva à hauteur de ses épaules et le projetta à terre de toutes ses forces. Mais Saïgo que l'on surnommait "le chat" était tellement agile qu'il réussit à retrouver son équilibre au milieu de sa trajectoire et se retrouva à nouveau debout face à Koshi. Le démon de l'école TOKUZA eut une seconde de stupeur que saïgo mit à profit, il fit basculer par dessus son épaule avec une projection devenue célèbre mais aujourd'hui plus utilisée, "YAMA-ARASHI".
    Ceci était réellement le premier pas de sa fulgurante ascension.
    Jigoro Kano présente le Judo comme un exercice physique accessible à tous. Il procède avec l'organisation du Kodokan à l'élaboration des réglements du Judo, Il devient le premier membre asiatique du Commité Internationnal Olympique (CIO) en 1909 et travail pour le developpement du Judo dans le monde entier.
    Le Judo devient sport invité aux J.O de 1964 a TOKYO, Supporté par tous les fans de Judo de la planète.
    Il devient enfin sport officiel du programme Olympique aux J.O de 1976 à MONTREAL.
    C'est maintenant un sport très populaire partout dans le monde.

      Le "JUDO", sport maintenant pratiqué partout dans le monde, est le véritable Judo du Kodokan, créé en 1882 par Jigoro Kano.

      Ceci est clairement établi dans l'article 1 des statuts, de la fédération Internationnal de Judo (FIJ). "La FIJ reconnait comme 'Judo' celui créé par Jigoro Kano."



Les dates importantes

    1900 - 1910 : Apparition du JUDO en Europe;
    1909 : Mr KANO, premier Japonais membre du C.I.O.
    1948 : Création de l'Union Européenne.
    1952 : Création de la Fédération Internationnale de JUDO.
    1956 : 1er championnat du monde de JUDO.
    1964 : Le JUDO, sport invité aux J.O.
    1972 : Le JUDO, inscrit définitivement comme sport olympique.

L'histoire du Judo en France

    On peut dire qu'en France il y a deux périodes pour le JUDO et le JU-JITSU :
    L'avant KAWAISHI et l'après KAWAISHI.

      1 - Avant KAWAISHI :
      En 1904, Ernest Régnier, qui se faisait appeler RE-NIE, ouvre rue de Ponthieu à Paris, une salle où il enseigne un mélange de lutte et de ju-jitsu. Il avait étudié à Londres dans une école japonaise.
      L'évènement qui allait donner le premier élan au ju-jitsu, fut un combat qui eut lieu en 1905, le 26 octobre, en plein air, sur la terrasse de l'un des batiments de l'usine de carrosserie Védrien à Courbevoie
      Ernest Régnier a 36 ans, il pèse 63 kilos et mesure 1m65, son adversaire, Georges Dubois, maître d'armes et de boxe, est également professeur d'escrime et sera maître d'armes à l'Opera-Comique de Paris. Il mesure 1m68, pèse 75 kilos et est agé de 40 ans.
      Après le traditionnel "Allez messieurs!" de l'arbitre, le combat commence, les deux hommes s'observent. Sur une feinte de RE-NIE, Dubois attaque par un chassé bas que RE-NIE esquive. S'ensuit un corps à corps qui continue au sol où Dubois essaye d'étrangler RE-NIE, mais celui-ci se saisit du poignet de Dubois et lui porte une clée appelée JUGI GATAME.
      Dubois s'avoue vaincu, le combat a duré moins de 30 secondes. Au lendemain de sa victoire, RE-NIE reçoit un grand nombre de demandes pour écrire un livre sur le Ju-jitsu de la part de nombreux hommes de lettres. Guy de Montgrillard va ainsi participer à la rédaction d'un livre appelé "Les Secrets du Jiu-jitsu"
      RE-NIE devient professeur de Ju-jitsu dans le club du professeur Edmond Desbonnet sur les Champs Elysées, le succès est immédiat. Toute l'aristocratie parisienne veut apprendre cette méthode qui permet à un homme de 50 kilos de terrasser un collosse de près de 2 fois son poids.
      Cet engouement se terminera de la même manière qu'il a commencé, par un combat ou RE-NIE est agressé sournoisement lors d'une démonstration par Witzler, un lutteur professionnel qui lui porte un coup de tête qui projette RE-NIE au tapis la figure en sang. Le combat suivant, entre 2 instructeurs Japonais de Londres, n'est pas fait pour arranger les choses, un des deux hommes attrapant le second par les organes prouvant sa virilité et le contraignant à l'abandon.
      Ce geste ne fit rien pour la "grandeur" du ju-jitsu, bien au contraire, les débordements survenus dans la salle à la suite de cette action, poussèrent la préfecture à réglementer les combats de Ju-jitsu : les combats entre Japonais sont interdits. Peu à peu, le Ju-jitsu retombe dans l'anonymat.

      2 - Après KAWAISHI :
      Il faut attendre 1932 et une conférence de Jigoro Kano pour que tout recommence.
      Moshe Feldenkrais, ingénieur et chercheur, passionné d'arts martiaux assiste à cette conférence et présente au maître un livre qu'il a écrit sur le Ju-jitsu.
      En 1934, les deux hommes se rencontrent à nouveau.
      En 1935, M. Feldenkrais, conscient des lacunes dont lui et ses amis souffrent, fait venir d'Angleterre le maître KAWAISHI alors 4ème DAN, pour y enseigner le Judo au sein d'une section d'un club de gymnastique et de culture physique reservé à des élèves de confession juive. Le Ju-jitsu Club de France était né.
      Jigoro Kano en sera le président d'honneur. Les pionniers du Judo en France sont des intellectuels, chercheurs ou journalistes tels :
      Feldenkrais, I. et F Joliot-curie (Secrétaire Général), Biguart, Bonnet-maury (Président), C. Faroux
      A la demznde du maître KAWAISHI, cette section fut immédiatement ouverte aux élèves de toutes confessions. Cette section siègeait au 62 de la rue Beaubourg. Très rapidement, un second club ouvrit ses portes le 22 février 1936, rue Thénard, toujours à Paris, dans le quartier latin : c'était le club Franco-Japonais.
      En septembre 1939, lorsque la guerre éclate, M Feldenkrais doit rejoindre l'Angleterre M. KAWAISHI regroupe les deux clubs en un seul et prend en main la destinée du JUDO en France.
      La guerre de 39-45 freine un peu le développement du JUDO en France sans le stopper. Dès 1941 le JUDO s'organise : il devient une section de la fédération Française de Lutte.
      Le 30 mai 1943, a lieu le premier championnat de France à Paris, salle Wagram, un championnat sans catégories de poids et d'âges. Cette compétition attire 3000 spectateurs et draine une foule 19 fois plus importante que celle du dernier Nationnal de lutte. Le 9 mai 1944, un mois à peine avant le débarquement en Normandie, se déroule les seconds championnats nationaux au Palais des Glaces à Paris.
      M. KAWAISHI, est contraint de rejoindre le japon qui vient de rentrer en guerre, non sans réunir ses plus anciens élèves en leur faisant promettre de rester unis et de s'entrainer le plus souvent possible sans abandonner le JUDO.
      Le Collège allait naître de cette réunion, Collège dont les statuts seront déposés en Novembre 1947.
      Avant la fin de la guerre, des clubs se sont ouvert à Paris et en banlieue, comme le Club St Honoré avec London, Opéra avec Lamotte, Cercle Sportif avec Mercier et Andrivet, St Martin avec Peltier, JC Nanterre avec de Herdt.
      Le 5 décembre 1946, le journal officiel publiait la naissance de la Fédération Française de Judo. En 1948 M. KAWAISHI rentre en France et doit s'accomoder des nouvelles structures, la Fédération et le CNCN étant nés pendant son absence.
      L'année 1951 fut décisive pour l'histoire du JUDO. La France adhère à l'Union Européenne, puis organise les Championnats d'Europe à Paris, au Vel d'Hiv, devant 12000 spectateurs et la même année voit la fondation de la Fédération Internationnale.
      S'en suivirent quelques dissentions qui rappellent celles que dut subir Jigoro Kano à ses débuts et qui s'estompèrent rapidement, même si la divergence des styles et des opinions existent encore, cela fait la richesse du JUDO.

Les dates importantes

    1933 : Première conférence sur le JUDO de Mr KANO en France.1osoto
    1935 : Arrivée de Mr KAWAISHI.
    1936 : Fondation du Ju-jitsu Club de France.
    1941 : Création d'une section JUDO à la Fédération Française de Lutte.
    1943 : Premier Championnat de France.
    1944 : Départ de Mr KAWAISHI.
    1947 : Création de la Fédération Française de Judo et Ju-jitsu.
    1948 : Retour de Mr KAWAISHI.
    1950 : Création de la revue Judo.
    1951 : Adhésion de la France à l'Union Européenne.

      Premier Championnat d'Europe à Paris.
      Fondation de la Fédération Internationale.

    1955 : Création du diplôme d'état de professeur de JUDO.
    1957 : Scission entre la F.F.J et le C.C.N.
    1961 : 3ème Championnat du Monde à Paris.
    1967 : Sortie de la progression Française d'Enseignement du JUDO.
    1971 : Arrêté ministériel créant le comité nationnal des grades du
    Judo et réunification du Judo (protocole d'accord FFJDA , FNJT)

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3 février 2006

code moral

Code moral du Judo

La politesse

C'est respecter autrui

Le courage

C'est faire ce qui est juste

La sincérité

C'est s'exprimer sans déguiser sa pensée

L'honneur

C'est être fidèle à la parole donnée

La modestie

C'est parler de soi-même sans orgueil

Le respect

C'est faire naître la confiance

Le contrôle de soi

C'est savoir taire sa colère

L'amitié

C'est le plus pur des sentiments humains

2 février 2006

faouzi

faouzi mohamed profésseur de  judo  et ju-jitsu 4éme d2an judo 1 er dan ju-jitsu

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